Shokushu III – Dessin sans cadre
35,00 €
Illustration imprimée en petite série sur papier Velvet Museum Extra blanc 320gr
Dessin seul, non encadré : 13,5 x 30 cm / 35 €
Existe aussi en version :
Dessin encadré avec fond de couleur gris ou rouge : 20 x 40 cm / 59 €
Cadre en bois noir bordure 1,5 cm, vitre en verre.
Rêves interdits et humides où le corps, inexorablement, est pris au doux et visqueux piège des tentacules qui, semblables à milles baisers, se démultiplient pour nous emporter vers les profondeurs de l’abandon et de l’inconscient.
Saisie de toutes parts, inutile de résister : mourir de plaisir est inévitable et le réveil sonne la renaissance.
L’érotisme des tentacules à la japonaise trouve ses origines en 1820 avec la mythique estampe de Katsushika Hokusai : Le Rêve de la Femme du Pêcheur.
Réinterprétée, déclinée, modernisée, elle donne naissance à un style à part entière, le Shokushu. Transformé en bande-dessinée érotique, ou Hentaï, il a droit à sa propre bande-sonore sous la forme d’une impressionnante liste d’onomatopées :
Poro-poro : sueur ou cyprine au goutte à goutte.
Toro-toro : corps recouvert de lubrifiant ou de liquide visqueux remuant l’un contre l’autre.
Buchu : baiser profond. Sphincter ouvert à l’aide des pouces.
Kori kori : tétons ou clitoris pincé entre deux doigts (sans douleur). Bruit produit quand on mange du calamar.
et mille autres…
Les onomatopées retranscrites sur les dessins sont issues de ce riche et précis vocabulaire érotique.
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